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II Voilà un jour que j’attendais la diligence, coincée dans cette auberge. Je me rendais à Louhans pour un poste de préceptrice quand mon tuteur m’abandonnait. Je fuyais les repas et les tristes démarcheurs et me contentais d’aller chercher une collation sur le soir. Je le vis tout de suite. Les ondes ? Je ne sais pas, mais ce que je sais, c’est que je lui fis de l’effet. Ses joues s’étaient empourprées, et son regard avait fui. Plus tard, je ne le vis plus, aussi je rejoignais ma chambre, dépitée. Il avait allumé en moi, instantanément, mon désir vicieux. Sous un physique très fille-très-bien, j’avais très vite appris à développer ce que j’appelle mon « jeu de salope », à l’insu de tous, parfois même devant tous, d’autant plus secrètement que mon physique me protègeait. munch7.jpg
    J’étais fatigué de mon inactivité quand, curieuse comme une chatte, l’idée saugrenue me traversait que mon bel homme était peut-être mon voisin de chambre. Je décidais de risquer un œil par la serrure de la porte commune. J’éteignais puis je tournais sans bruit la clé pour dégager l’orifice. Je jetais un œil. Dieu du ciel, mon homme, sur son lit, en train de se reposer, les yeux fermés ! Mon attention fut aussitôt attirer par ses mains. Je n’en croyais pas mes yeux, je ne pensais pas être la seule à me caresser, mais c’était la première fois que l’occasion m’était donnée de vérifier de visu. Mes seins pointèrent aussitôt. Je les sentais frotter contre le tissu. J’étais accroupie. J’écartais les jambes et glissait ma main sur ma moule. Cela faisait déjà longtemps que ma vergogne m'avait quitté, et je ne manquais aucune occasion. Celle-ci ne se reproduirait sans doute jamais.
    Mes mains lissaient ma peau, de derrière mes genoux jusqu’à mon ventre, en passant sur ma toison garnie, et un doigt finissait sur mon anus. Je commençais rapidement à mouiller. Mon intérieur bouillait. Mes sucs commençait à travailler.
Mon homme avait maintenant le pantalon sur les cuisses et je surprenais parfois son membre. Je ne sais ce qui me prit, je décidais soudainement que nous étions dans le même état et que nous saurions bien nous en affranchir mutuellement. Toujours accroupie, j’ôtais ma culotte, ressentant les odeurs de mon entrejambe, chaudes et salées. Je me relevais….

III La porte s’ouvrait, ma demoiselle entr’aperçue puis rêvée prenait corps devant moi, alors que je gisait à demi nu sur mon lit. La honte m’embrasait. Elle ne perdit pas son temps et après avoir clos ma porte, elle relevait ses jupons en me fixant du regard avec un sourire étrange, moitié douceur, moitié cannibalisme.
Je vis son sexe et toutes mes appréhensions disparurent. Sans qu’elle eût besoin d’en écarter les lèvres, je distinguais nettement sa rose entrouverte surmontée de son bouton déjà gonflé. Les pétales étaient détachés de ses grandes lèvres que surmontait un mont de vénus très proéminent, dominé lui même par son ventre rebondi. Cette salope s’était déjà allumé et j’en voyais la confirmation sur son sourire persistant. Elle mit un genou sur ma couche et écartait aussitôt son minou, l’offrant à ma bouche. Je ne me fis pas prier. Mes mains se joignirent à ma langue pour commencer à l’explorer. Insensiblement, elle s’allongeait sur le coté, pour se concentrer sur ma queue qui était retombée. Pas pour longtemps. Elle semblait prendre un plaisir particulier à jouer les chiennes. Je commençais à lui parler.
- tu es plutôt coquine .
- Très ; son rire fusa.
- ...
Dim 20 mai 2007 Aucun commentaire