ooostory
Ma chère,
tu me pries avec tant d'insistance! Que je te raconte quelle a été ma première expérience? Cela ne m'arriva point en mon très jeune âge, mais au moins ai-je la fierté de ne pas avoir été dépucelé par main plus experte que la mienne ou par un homme. Eh oui, ce sont là ce que maints de mes amis rapportent.
je ne sais comment cela se fit, mais un jour de mes 16 printemps, en l'an 1475, j'étais encore jeune garçon, il advint qu'une jeune fille répondant au doux nom d'Elizabeth vint frapper à notre huis un bel après midi. Comment se fit il que ce jour là, aucuns de mes frères et soeurs ne fût là? Je ne sais.
j'étais dans ma chambre et maman fit monter la jeune fille. Ce n'était guère dans ses habitudes mais sur le moment, je ne pris la mesure de cette indifférence maternelle. Je ne sais comment, j'étais arrivé à inviter cette jeune fille mais je me dis maintenant qu'elle devait être aussi intéressée par la chose que moi-même, pour que cela ne resta pas dans mon souvenir.
A peine était elle entrée que derrière elle, je tirai le verrou. Je lisais dans ses yeux la même détermination que la mienne. Nous nous allongeâmes aussitôt sur la couche, l'un à coté de l'autre, et toujours sans un mott, nous commencions à nous embrasser. Sur la bouche d'abord, puis, dardant la langue entre nos lèvres, rapidement nous nous mîmes à échanger de longs baisers au goût de miel.
Nos mains étaient restées le long de notre corps. J'entrepris alors de relever son jupon et glissais ma main droite sous son collant. Le bout de mes doigts caressait maintenant sa toison. Quelle ne fût pas ma surprise quand elle en fit rapidement autant. Un de ses ongles peu expert vint griffer mon gland; la réaction ne se fit pas attendre et je constatai par la présence de ses doigts que mes poils étaient déjà baveux de mon excitation. Je descendais alors jusqu'à son sillon que je parcourais mentalement pour me rassasier de l'instant. Mon index séparait doucement deux renflements soudain vide de poils, que la pression des jambes avait collé l'un à l'autre. J'entrai dans la moiteur tiède de sa fente, au bruit de sa respiration forte à mon oreille.
Elle, pendant ce temps, s'était emparé gourmandement de ma tige, à pleine main et elle en jaugeait la taille, par des mouvements de va et vient qui faisaient leur effet. Elle me serrait à m'en faire délicieusement mal. Je glissais plus avant dans son intimité et goûtais pour la première fois à la texture un peu poisseuse des humeurs de femmes. le coussin de mes doigts entraînait avec lui, quand je l'écartais, un filet de bave qui m'attachait ainsi à son sexe. Mon souffle était court. On devinera que j'étais concentré sur mon plaisir. Ainsi en était elle d'elle également. J'entendais sa respiration et ses grognements quand mes doigts pénétraient profondément son conil. Son monde intérieur se refermait sur mon doigt. Elle ouvrait la bouche et je sentais la fraicheur de son haleine sur mon visage. Nous ne tînmes pas longtemps ce jeu là et ses gémissements furent ponctuer de ma liqueur sur ses doigts, qu'elle essuya sur mes jeunes poils et mon ventre.
Je ne la revis jamais.
tu me pries avec tant d'insistance! Que je te raconte quelle a été ma première expérience? Cela ne m'arriva point en mon très jeune âge, mais au moins ai-je la fierté de ne pas avoir été dépucelé par main plus experte que la mienne ou par un homme. Eh oui, ce sont là ce que maints de mes amis rapportent.
je ne sais comment cela se fit, mais un jour de mes 16 printemps, en l'an 1475, j'étais encore jeune garçon, il advint qu'une jeune fille répondant au doux nom d'Elizabeth vint frapper à notre huis un bel après midi. Comment se fit il que ce jour là, aucuns de mes frères et soeurs ne fût là? Je ne sais.
j'étais dans ma chambre et maman fit monter la jeune fille. Ce n'était guère dans ses habitudes mais sur le moment, je ne pris la mesure de cette indifférence maternelle. Je ne sais comment, j'étais arrivé à inviter cette jeune fille mais je me dis maintenant qu'elle devait être aussi intéressée par la chose que moi-même, pour que cela ne resta pas dans mon souvenir.
A peine était elle entrée que derrière elle, je tirai le verrou. Je lisais dans ses yeux la même détermination que la mienne. Nous nous allongeâmes aussitôt sur la couche, l'un à coté de l'autre, et toujours sans un mott, nous commencions à nous embrasser. Sur la bouche d'abord, puis, dardant la langue entre nos lèvres, rapidement nous nous mîmes à échanger de longs baisers au goût de miel.
Nos mains étaient restées le long de notre corps. J'entrepris alors de relever son jupon et glissais ma main droite sous son collant. Le bout de mes doigts caressait maintenant sa toison. Quelle ne fût pas ma surprise quand elle en fit rapidement autant. Un de ses ongles peu expert vint griffer mon gland; la réaction ne se fit pas attendre et je constatai par la présence de ses doigts que mes poils étaient déjà baveux de mon excitation. Je descendais alors jusqu'à son sillon que je parcourais mentalement pour me rassasier de l'instant. Mon index séparait doucement deux renflements soudain vide de poils, que la pression des jambes avait collé l'un à l'autre. J'entrai dans la moiteur tiède de sa fente, au bruit de sa respiration forte à mon oreille.
Elle, pendant ce temps, s'était emparé gourmandement de ma tige, à pleine main et elle en jaugeait la taille, par des mouvements de va et vient qui faisaient leur effet. Elle me serrait à m'en faire délicieusement mal. Je glissais plus avant dans son intimité et goûtais pour la première fois à la texture un peu poisseuse des humeurs de femmes. le coussin de mes doigts entraînait avec lui, quand je l'écartais, un filet de bave qui m'attachait ainsi à son sexe. Mon souffle était court. On devinera que j'étais concentré sur mon plaisir. Ainsi en était elle d'elle également. J'entendais sa respiration et ses grognements quand mes doigts pénétraient profondément son conil. Son monde intérieur se refermait sur mon doigt. Elle ouvrait la bouche et je sentais la fraicheur de son haleine sur mon visage. Nous ne tînmes pas longtemps ce jeu là et ses gémissements furent ponctuer de ma liqueur sur ses doigts, qu'elle essuya sur mes jeunes poils et mon ventre.
Je ne la revis jamais.
Ven 25 mai 2007
1 commentaire
je te reconnais bien là ! malgré ton jeune âge tu es toujours aussi pressé d'arrivé à tes fins.... lol bises
j'allais oublier ... pas mal pour l'époque
josiane - le 26/05/2007 à 13h48