Dimanche 20 mai
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23:50
L’autre jour, je ne sais ce qui m’avait pris, j’allais au travail sans ma culotte. J’étais avec ma jupe serrée jean et des talons. Le matin, je m’étais levé avec ce je ne sais quoi qui fait
que je savais que ma journée ne serait pas que travail. Ce jour là, çà tombait bien, je n’avais pas grand chose à faire et mon chef était en formation. Tout le monde en profitait pour fonctionner
au ralenti. Personne ne me remarquait ; je le savais bien.
Un peu avant midi. Je n’en pouvais plus, je filais donc aux toilettes. Je m’asseyais en faisant glisser ma jupe vers le haut et me soulageais rapidement d’un jet dru et sonore.
Une vraie vache. J’aime çà, cette sensation sur mes lèvres à peine écartées. Mon cœur se mit à battre la chamade en même temps que mon cerveau entrait en ébullition. J’avais l’impression que ma
poitrine qui faisait déjà son 95B prenait encore du volume. Comme je passais une feuille de papier toilette pour m’essuyer, machinalement je glissais mon index dans ma fente. Mon clito se
réveillait aussitôt. Je repris une feuille et cette fois ci je m’attardais ; la feuille semblait entrer comme dans un fourreau tendre. De l’autre main je soulevais mon chemisier et effleurait mes
tétons. Ils étaient effectivement dressés. Chez moi, ils prenaient une proportion hors du commun. Cela me faisait autrefois honte quand j’étais avec mes petits copains. Depuis, j’en étais devenu
plutôt fière. Mes seins coincés entre mon chemisier et ma main caressante commençaient à durcir.
Mes doigts du bas s’affairaient maintenant rapidement sur le haut de mes deux lèvres et je cherchais à faire sortir mon petit clito que je sentais émerger rapidement. J’écartais
bien les jambes et je fermais les yeux. Je me concentrais sur l’image de mon sexe. D’un mouvement répété de haut en bas, je pressais sur mon bouton pour finir par entrer dans ma fente qui mouillait
déjà abondamment, la paume de ma main pressant alors de toute mes forces jusqu’à m’en faire mal. Mes doigts étaient enfoncés au plus profond de ma chatte. ma main gauche redescendit à la rescousse
de la premièrepour tirer mon sexe vers le haut. pendant ce temps ma main droite faisait des petits mouvements circulaires rapides sur mon clito. Je ne voulais pas que çà s’éternise et mon seul
objectif était de parvenir à mes fins le plus rapidement possible.
Mais tout à coup j’ouvrais les yeux et je me souvins d’un détail qui m’arrêtait net, j’avais oublié de fermer à clé. Mon vagin se contracta et je déchargeais aussitôt, un flot de
cyprine me coulant sur les doigts, quand je vis la poignée qui tournait…
Par olimark
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