Mardi 29 mars
2
29
/03
/Mars
21:03
J’entre dans la pièce, à quatre pattes, nu, avec uniquement un collier de chien en tissu autour du cou. Je ne dis rien. Ma maîtresse, opulente, est assise sur le sofa. Elle porte un haut bleu
sombre lamé, une jupe noire sur des bas noirs et des bottines. Elle me dit « reste là, ne bouge pas » en tendant le doigt, comme à un petit chien. « ne bouge pas, là ! ». Je m’arrête. puis ses
mains passent sous sa jupe en même temps qu’elle se relève. Je suis à ses pieds, je n’en perd pas une miette. Sa jupe noire remonte, je vois le haut de ses cuisses. Ses mains passent de derrière
sur le devant puis descendent le long de ses jambes. Un petit morceau de tissu. C’est sa culotte qu’elle enlève.
Elle me la tend puis me dit « sens ». Je m’approche, et plonge mon nez dans sa culotte odorante. Je sens son odeur de femme, douce, âcre, entêtante. Je sens la moiteur et la tiédeur de sa
culotte. Cela m’excite, ma queue gonfle un peu. « non, non, ne mords pas. Sens, c’est tout », dit elle en tendant son doigt, puis elle me représente sa culotte. Je tire la langue de
plaisir.
Puis elle me passe la main dans les cheveux et se rassoit dans le sofa, en écartant bien ses cuisses, elle remonte sa jupe. Je vois son porte jarretelles noir. J’ai alors une vue plongeante
sur sa vulve. Elle est rasée, bien lisse et charnue. Je bande et je sens ma queue qui commence à pendre entre mes jambes. Elle prend un pot sur la table à coté d’elle. Du miel. Elle y plonge son
doigt et puis le passe sur sa fente et sur tout le pourtour de sa chatte. Elle me regarde… « Viens lécher ». Je m’approche entre ses cuisses. Je commence à laper, par petits coups, pour récupérer
le miel qui fait des gros morceaux. Elle s’étend un peu plus et j’entends son souffle. Elle me regarde avec un sourire de bonheur. Je suis content. J’entends ses « ah » et ses « hmm » de plaisir
mêlés à mes bruits de succion. Quand j’ai fini avec le miel je nettoie bien sa peau qui colle. Elle passe sa main sur son ventre. Le sucre fait que cela est râpeux. Quand je passe sur sa fente,
je lui arrache des rauques de plaisir. Ma langue se hasarde au milieu de son sillon. Je découvre qu’elle est mouillée de plaisir. Son jus se mêle au goût du miel. J’adore. Je sens son odeur de
femme qui exhale de plus en plus. Ma bite me tire, j’aimerais tant qu’elle me câline à son tour.
Elle pose sa main sur ma tête et la presse contre son sexe, au rythme de mes lapements. Sa respiration devient plus forte, elle pousse son bassin vers ma bouche, ouvre encore plus ses cuisses,
comme pour m’inviter à ouvrir son sexe. Je détache les deux lèvres qui sont maintenant bien gonflées, remonte vers son clitoris que je contourne délicatement. Je le sens qui commence à pointer.
Je presse mon visage contre son sexe et ma langue entre, bien dure dans son vagin qui est maintenant trempé. Mes joues sont mouillées de ses jus de femme. J’entre et sors, et je pousse des petits
cris de chien content.
Je sens parfois ses cuisses se refermer sur moi, comme en réflexe. Puis elle écarte à nouveau. Je ressors de temps en temps pour remonter jusqu’à son clito. Il est maintenant bien dur et sorti de
son écrin de lèvres. Elle pousse des « ah » de plaisir. Puis je redescends sur le coté de ses lèvres. Ma face est couverte de sa mouille. Je mords parfois dans la chair de son mont de venus et
j’aspire ce jus. Je la sens vaciller, retenir son souffle puis expulser son plaisir. Je lèche pour essayer de sécher toute sa mouille, mais rien n’y fait. Je sens alors les mouvements de son
bassin. Elle presse ma tête et crie désormais. Elle jouit.
Un moment passe pendant lequel je continue de la lécher en évitant de plus en plus son sexe ; ses cuisses, son aine…
Elle me parle à nouveau « c’est bien, oui c’est bien. Je vais te faire un joli cadeau, mon toutou ». puis elle me tend sa culotte que je prends dans ma bouche. « couché maintenant ». je
m’étends devant elle sur un petit tapis. Ma queue est bien dure. J’aimerais tant que ma maîtresse me câline…
Par olimark
1