Lundi 21 mai 1 21 /05 /Mai 00:03
Elle etait dans sa cuisine quand j’entrais.
    magret-pralin-3.jpg Je commence à lui parler ; elle se rapproche alors de moi, je lui parle de n’importe quoi ; elle s’approche de moi toujours et je la vois me regarder avec un grand sourire. ses mains semblent se diriger vers moi. Elle m’écoute  et en même temps regarde de temps en temps vers mon pantalon.
    Tout d'un coup ses mains s’emparent de ma ceinture, sans geste brusque. je comprends tout de suite et je dégrafe aussitôt , j'ouvre légèrement mon pantalon. je continue à parler. De ses mains elle dégage ma verge, et commence à faire doucement un mouvement de va et vient. Elle se baisse un peu et prend le bout de ma verge dans sa bouche. Elle me suce comme une tétine en mouillant abondamment de salive. Sa bouche se retire de mon gland en faisant un filet de salive. Elle s’applique, goulûment. Ma queue prend alors une proportion plus qu’honorable. Elle reste accroché un temps en faisant jouer sa langue. C’est divinement bon. Elle se retire puis me branle doucement mais à pleine main.
    Elle défait alors son pull, son soutien gorge et sa culotte en même temps que tombe son pantalon. Elle est nue devant moi et ses seins lourds mais ronds m’excitent la vue . elle reprend ma verge dans sa bouche et je l’accompagne de mouvements de bassin. Sa caresse se fait plus précise, plus pressante, elle presse de sa langue ma queue contre son palais. Sa main accompagne ses lèvres dans son mouvement d’allée et venue.
    Nous inversons les rôles. Elle s’assoit sur le plan de travail et je lui glisse deux de mes doigt dans sa fente. Elle est déjà mouillée. Ils glissent sans effort . mon autre main rejoint ses seins tout ronds que je malaxe. Ils cèdent sous ma main qui pétrit. L’un, puis l’autre. Les deux mouvements sont coordonnés. Elle semblent trouver çà à son goût. Sa chatte est rasée, sauf un petit filet de poils au dessus de son minou. Je suis à portée de vue de son vagin et j’entends déjà le clapotis de mes doigts dans sa fente,toute rose, toute douce. Je vois son regard flou ; sa bouche est entrouverte. Elle me regarde mais ne voit rien ; elle est concentrée sur son plaisir, j’entends ses petits rauques quand des frissons lui parcourent le ventre et résonnent dans son vagin.
Je sors mes doigts, un filet de mouille les accompagne ; je le suce. Mmm, c’est divinement bon ; je sens mes doigts. Ils sentent sa chatte. L’odeur m’excite terriblement. J’approche alors mon visage de sa fente. L’odeur est encore plus forte. Du bout de la langue, je sépare une petite lèvre de son mont de vénus en m’insinuant dans les replis de sa chatte. Je joue de ma langue avec ses lèvres fermes qu’elle a légèrement saillantes ; je les sépare car elles sont collées l’une à l’autre par la mouille. je m’insinue dans son sillon et je remonte jusqu’à son petit bouton que je devine. Je me recule pour voir son petit clito. Il est tout dur. Il résiste sous ma langue et je me mets à le laper, de bas en haut. J’entends son souffle qui devient plus fort. Je rentre alors ma langue dans son vagin, à la manière d’une queue, le plus profondément possible.
Elle serre ses cuisses autour de ma tête. Je me dégage et je quitte tous mes vêtements. Pendant qu’elle essaye de reprendre ma queue, les yeux sont indéfinissables. Elles les a très clairs ; son regard m’excite terriblement, il semble me dire « prends moi ».
Mais je veux faire durer le supplice. Je m’approche de ses seins, dont les bouts sont dressés, tout en remettant mon majeur dans sa chatte. Elle est trempée ; je  fais des va et vient, violemment, ma paume frottant sur son mont de venus. J’appuie à chaque poussée sur son clito. Elle râle à chaque pression. Elle me crie à l’oreille des petits « oui, oui » alors que j’investis la base de son cou, sous l’oreille, du bout des lèvres. L’odeur de sa nuque, mélangée à l’odeur de sa chatte, qui m’est restée sur la bouche, est le plus grand des aphrodisiaques. je sens ma queue qui pend dans le vide, comme une grosse limace, comme détaché de mon corps.
    Je la frôle du bout des lèvres, pendant que son fourreau tout lisse se resserre sur mes doigts ; j’ai rajouté l’annulaire. Elle parle de plus en plus et émet maintenant un petit son continu qui va crescendo. Je lui lèche l’arrière de l’oreille tout en la pompant de ma main. Son bassin vient à la rencontre de mes doigts qui remonte sur la face antérieure de son vagin. Ma paume frotte contre ses lèvres et son clitoris que je fais rouler latéralement. Elle crie maintenant  alors que je lui murmure des mots obscènes à l’oreille. nous avançons, en parfait synchronisme.
    Elle s’immobilise alors dans un cri rauque et haché alors que ses jambes se resserrent sur ma main comme un étau. Elles les croisent. Je sens un jet puissant m’inonder la main. Elles resserre encore les jambes, comme pour le retenir. Je me dirige alors vers son sexe. Il est trempé. Je lui lèche consciencieusement comme un petit chat qui laperait du lait. Elle s’ouvre à nouveau tout doucement.  Elle ne dit plus rien et moi je continue à la lècher méthodiquement, son sexe, ses jambes et le pli entre, en glissant un « mmmm » de contentement.
    Elle est aux anges.
Par olimark
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