Dimanche 20 mai 7 20 /05 /Mai 10:38
plage.jpg Je viens souvent sur ce petit bout de plage nudiste. Je ne sais pourquoi. L'été, j'y pense beaucoup plus que l'hiver. J'ai 50 ans et je peux témoigner que ma libido n'a pas faibli.
    Je suis mariée, mon mari m'accompagne mais je sais au fond que c'est à contre-coeur. Nous nous allongeons nus sur nos serviettes, mais la vue de son sexe ne me procure plus ce picotement dans le bas-ventre. J'ai besoin de l'autre.
    Je prends un livre et nous dorons des heures ainsi. Quand nous avons trop chaud, l'un ou l'autre plongeons quelques instants dans l'eau fraîche de ce bras de rivière aménagé.

    Ce jour-là, un jeune homme s'allongeait seul en contrebas de nous, n'ayant pas d'autre choix tellement la plage était bondée. le soleil brûlant nous imposait à tous les lunettes, pratiques paravents. Je lisais sur le dos, la tête penchée sur le coté, une jambe relevée et l'autre étendue, une de mes poses favorites. Je voyais bien, d'où j'étais, le jeune homme et je savais qu'il pensait déjà à moi. Il était vraiment bien placé mais ma jambe relevée lui otait la vue de mon sexe.
   
    Il prît un livre et s'étendit sur le ventre; je le voyais relever de temps en temps le regard vers moi. Cà m'excitait terriblement de me savoir convoitée. Je sentais mes lèvres s'entrouvrir légèrement, lubrifiées par la sueur. Je passais ma main sur ma vulve, machinalement, comme pour chasser du sable. J'en profitais pour changer de jambe, et écarter insensiblement l'autre, m'offrant ainsi au désir du jeune homme. Je ne le voyais plus tourner les pages, je devinais qu'il était piégé sur sa serviette. Vengeance de femme mûre.

    il parvint à se tourner discrètement, puis à se diriger vers l'eau, la queue entre les jambes. Je l'aperçus déjà gonflée mais pendante, comme je les adore. J'avais envie de la prendre dans ma bouche et de jouer avec. Mon mari était  perdu dans des mots croisés. Quand il revint à sa serviette, il se disposait sur le coté, plus méfiant, mais toujours avec la possibilité de me jeter des coups d'oeil. Je voyais nettement son membre et çà me mettait dans tous mes états. C'était à mon tour d'avoir peur de me trahir. D'habitude, je mouille comme une folle, et là je sentais mes jus se mêler à la sueur. Je décidais de n'en rien cacher. Mes lèvres se gonflaient-elles ou n'était-ce que l'impression? Je passais innocement un doigt dans me fente. Plus de faux semblant, mon voyeur était rivé sur ma chatte. Je mouillais maintenant comme une éponge et mon vagin se dilatait intérieurement.

    Après quelques quarante cinq minutes de ce jeu, je décidais d'y mettre un terme. Je me levais et partît à mon tour dans l'eau. Je nageais au loin quelques cinquantaines de mètre. Une fois à l'abri des regards, je plaçais mes deux doigts dans ma fente et je me masturbais énergiquement, presque à me faire mal, en appuyant de ma paume sur mon clito que j'aime tant  presser, essayant de me maintenir avec mon bras libre et mes jambes à la surface de l'eau. Les secousses furent terribles. Je n'arrivais pas à réprimer un petit cri. j'étais brûlante dans l'eau fraîche, un vrai régal. Je continuais ensuite ma nage.

    De retour à ma serviette, tout allait mieux, je replongeais dans mon polar. Je n'oubliais pas mon visiteur que je savais toujours tendu. Je lui offrais donc mes poils abondants, dégoulinants sur mon sillon refermé. Cela lui suffit j'imagine, car je le vis bientôt se diriger dans l'eau, au large, loin pour ne revenir qu'après une demie heure.

    Nous partîmes avant lui, je retirais mes lunettes, lui aussi. Nous échangeâmes un sourire, comme amants d'un jour.
Par olimark
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Dimanche 20 mai 7 20 /05 /Mai 10:26
01.jpg Je passe ce matin là, tôt,  dans leur quartier. Pourquoi ne pas leur faire un petit coucou? J'achète deux croissants et je grimpe quatre à quatre leur trois étages.

    Arrivé sur le palier, une sensation bizarre me prend. La porte est légèrement ouverte. Pas normal tout çà. Je pense à la porte qu'on tire en partant, un peu pressé, et qui ne se ferme pas tout à fait. Je pense donc à la fermer quand j'entend un bruit. Je transpire, je pense aussitôt à un cambrioleur. Mon coeur bat la chamade. J'entre en silence, guettant une phrase ou un bruit quotidien. Mais rien ne vient. J'avance, passe la cuisine et me dirige vers la chambre guidé maintenant par un souffle. Je pense à quelqu'un qui fait un effort. Mes jambes flagellent. je ne suis pas très courageux mais je ne peux plus reculer.

     Je cherche un objet à saisir quand je vois une image que me renvoie le miroir dans la chambre. Mon excitation change de nature. Un drap entrouvert, une jambe qui en sort et une main qui s'aventure dessous. C'est la femme de mon copain et son souffle est maintenant sans équivoque. Une  érection me prend aussitôt. Elle ne gémit pas mais sa respiration est déjà bien engagée. Je vois la couverture se soulever à un rythme déjà soutenu. Je comprends alors le premier bruit que j'ai entendu. Son autre main est en train de fouiller dans la table de nuit. Je ne sais que faire. Partir?

    Et puis mentalement, je pense à elle, à son visage. Elle m'a toujours plu. Je ne sais si c'est le fantasme de la femme du copain, mais son petit cul tout rond, son air angélique, ses hanches larges sous une taille très fine, ses petits seins menus avec ses tétins qui pointent sous les T-shirts, tout çà me mettait toujours dans un état pas possible. je reste donc  et je me plaque contre le mur, la porte ouverte sur la chambre me protège. J'ai même une double vue , par l’entrebâillement. Ce qu'elle sort maintenant du tiroir au haut de son lit est un gode tout blanc. Elle rejette le drap et la couverture. Je vois la tache noir de son sexe. Elle prend un coussin et le place sous ses fesses. Je vois maintenant son sillon trempé. Je suis aux premières loges.

    Elle glisse l'olisbo nacré entre ses jambes relevées. Il rentre facilement dans sa fente et ressort, luisant. Un râle de plaisir se fait entendre. Je glisse une main dans ma culotte et je dégage ma queue qui me fait mal. Elle se déploie aussitôt. Le bout émerge de mon slip. La mouille inonde mes doigts. Je les lèche aussitôt. J'aime bien ce petit goût. Son mouvement de va et vient s'accélère. Son ventre est trempé de sueur. Chaque fois que la queue blanche pénètre sa chatte, elle soulève les fesses, son ventre avance et son petit clito maintenant nettement visible vient frotter contre l'objet qu'elle presse dans un geste brutal.

    Je me fais jouir rapidement de peur qu'elle ne me devance. Mon pantalon est trempé. J'essuie ma main à l'intérieur de ma poche de jean. Je l'entends maintenant qui pousse des petits " hin, hin" et en même temps je sens ma propre odeur de sexe. Très aphrodisiaque. Ma queue qui vient de juter en reste gonflée.

    Elle s'achève alors dans des râles rapides. Je décide de repartir. Je reprends mes croissants je referme doucement la porte et repart en marche arrière.

    Une fois dans la rue, mon coeur se calme. l'air frais me fait du  bien, je retrouve mes esprits. Je fais un tour dans le quartier et après quelques courses, je ressonne à sa porte. Elle vient m'ouvrir en peignoir blanc en m'accueillant d'un sourire bienveillant. Rien ne laisse imaginer, elle est pareille à tous les autres jours.

Je baisse les yeux, un filet de mouille coule le long de sa jambe.
Par olimark
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Dimanche 20 mai 7 20 /05 /Mai 10:17
creation-bastille-200.jpg Elle était là devant moi, assise, dans ce métro bondé de 11h45. Nous avions tous très chaud et seul le bruit de la rame venait rompre le lourd silence de cette fin de matinée.
    Son corps était ballotté au rythme des rails, et je regardais indirectement,  comme en passant, son entrejambe révélée par un jean serré qui laissait entrevoir son sillon charnu. Je ne sais pas pourquoi mais j'étais à peu près sûr, à voir son regard qui semblait se détourner à chaque fois que je balayais du regard son visage, qu'elle était à peu près sur la même longueur d'onde que moi; sans trop réfléchir, j'étais en train de dériver vers des fantasmes intérieurs.
    Je m'imaginais sa culotte blanche, pressée en son intérieur, peut-être déjà trempé par la sueur. La couture ou un pli lui heurtait probablement la fente et elle se laissait meurtrir en silence.
    J'arrivais rapidement à un début d'érection, ma queue cherchant mollement à se déployer.
    Arrivé à ma station, je descendais rapidement, cherchant à faire redescendre mon excitation. Je ne sais pourquoi, la marche dans la rue n'arrivait pas à tempérer mes ardeurs. L'image de ce jean me revenait et ne parvenant pas à me calmer, l'idée folle de me masturber me prît. J'entrais dans une allée inconnue, fonçais au bout du couloir empli de boîtes aux lettres. Vers l'ascenseur, une petite porte à serrures carré céda à mes attaques. J'entrais et commençais à me caresser en serrant les cuisses sur ma main. Je commençais à glisser ma main sous mes vêtements quand j'entendis la porte et de pas vifs vers l'escalier. Je retins mon souffle, je n'avais pas tout à fait fermer la porte sur moi.
    Je fus pétrifié quand les pas s'arrêtèrent à ma hauteur entre les poubelles et l'ascenseur. Mais comme rien ne se passait, je fus très vite surpris d'entendre des bruits sans équivoque. C'était la fille du métro à n'en pas douter. Elle fouillait de sa main à l'intérieur de son jean. J'entendais maintenant son souffle, par intermittence.
    Toujours la main autour de mon membre, immobile, je me décollais légèrement du fond de mon placard et je risquais un oeil. Je voyais maintenant les deux fuseaux de ses jambes et sa main s'enfonçant fermement dans son jean. Le souffle et la main s'accélérèrent rapidement. Elle desserra sa ceinture et fît tomber son pantalon et sa culotte en même temps. Elle était effectivement blanche et la mouille faisait çà et là des taches de gris. Elle furetait maintenant largement dans sa toison brune. Je voyais parfois ses lèvres rosées.
    Elle haletait maintenant comme un petit chien. Au moment où elles se raidit, elle serra convulsivement les cuisses et son torse se fléchît. J'explosais littéralement au même moment.
     Elle releva son jean sans plus attendre et j'entendis ses pas vers la sortie. J'attendis quelques instants de reprendre mon souffle et je fis de même.
    Je pense souvent à cette anecdote quand l'occasion me vient de prendre le métro, et cela se produit souvent.
Par olimark
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