Dimanche 20 mai
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10:26
Je passe ce matin là, tôt, dans leur
quartier. Pourquoi ne pas leur faire un petit coucou? J'achète deux croissants et je grimpe quatre à quatre leur trois étages.
Arrivé sur le palier, une sensation bizarre me prend. La porte est légèrement ouverte. Pas normal tout çà. Je pense à la porte qu'on tire en partant, un peu pressé, et qui ne se
ferme pas tout à fait. Je pense donc à la fermer quand j'entend un bruit. Je transpire, je pense aussitôt à un cambrioleur. Mon coeur bat la chamade. J'entre en silence, guettant une phrase ou un
bruit quotidien. Mais rien ne vient. J'avance, passe la cuisine et me dirige vers la chambre guidé maintenant par un souffle. Je pense à quelqu'un qui fait un effort. Mes jambes flagellent. je ne
suis pas très courageux mais je ne peux plus reculer.
Je cherche un objet à saisir quand je vois une image que me renvoie le miroir dans la chambre. Mon excitation change de nature. Un drap entrouvert, une jambe qui en sort et
une main qui s'aventure dessous. C'est la femme de mon copain et son souffle est maintenant sans équivoque. Une érection me prend aussitôt. Elle ne gémit pas mais sa respiration est déjà bien
engagée. Je vois la couverture se soulever à un rythme déjà soutenu. Je comprends alors le premier bruit que j'ai entendu. Son autre main est en train de fouiller dans la table de nuit. Je ne sais
que faire. Partir?
Et puis mentalement, je pense à elle, à son visage. Elle m'a toujours plu. Je ne sais si c'est le fantasme de la femme du copain, mais son petit cul tout rond, son air angélique,
ses hanches larges sous une taille très fine, ses petits seins menus avec ses tétins qui pointent sous les T-shirts, tout çà me mettait toujours dans un état pas possible. je reste donc et je
me plaque contre le mur, la porte ouverte sur la chambre me protège. J'ai même une double vue , par l’entrebâillement. Ce qu'elle sort maintenant du tiroir au haut de son lit est un gode tout
blanc. Elle rejette le drap et la couverture. Je vois la tache noir de son sexe. Elle prend un coussin et le place sous ses fesses. Je vois maintenant son sillon trempé. Je suis aux premières
loges.
Elle glisse l'olisbo nacré entre ses jambes relevées. Il rentre facilement dans sa fente et ressort, luisant. Un râle de plaisir se fait entendre. Je glisse une main dans ma
culotte et je dégage ma queue qui me fait mal. Elle se déploie aussitôt. Le bout émerge de mon slip. La mouille inonde mes doigts. Je les lèche aussitôt. J'aime bien ce petit goût. Son mouvement de
va et vient s'accélère. Son ventre est trempé de sueur. Chaque fois que la queue blanche pénètre sa chatte, elle soulève les fesses, son ventre avance et son petit clito maintenant nettement
visible vient frotter contre l'objet qu'elle presse dans un geste brutal.
Je me fais jouir rapidement de peur qu'elle ne me devance. Mon pantalon est trempé. J'essuie ma main à l'intérieur de ma poche de jean. Je l'entends maintenant qui pousse des
petits " hin, hin" et en même temps je sens ma propre odeur de sexe. Très aphrodisiaque. Ma queue qui vient de juter en reste gonflée.
Elle s'achève alors dans des râles rapides. Je décide de repartir. Je reprends mes croissants je referme doucement la porte et repart en marche arrière.
Une fois dans la rue, mon coeur se calme. l'air frais me fait du bien, je retrouve mes esprits. Je fais un tour dans le quartier et après quelques courses, je ressonne à sa
porte. Elle vient m'ouvrir en peignoir blanc en m'accueillant d'un sourire bienveillant. Rien ne laisse imaginer, elle est pareille à tous les autres jours.
Je baisse les yeux, un filet de mouille coule le long de sa jambe.