Dimanche 20 mai
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23:36
Pour un homme, en matière de sexe, il y a les biches, les juments et les éléphantes. ma nature me poussait logiquement vers les juments poneys, pourrait-on dire. Je ne sais quel gène détermine chez
moi ce penchant auquel je ne résiste pas.
Ces biches, tant flattées par les cancans, ne déclenchent tout bonnement rien en moi. Certes, je goûte à la beauté plastique mais voilà tout. Qu'une croupe arrondie aux hanches
fermes, associées à une taille étroite et des épaules fines se présente et me voilà en transe. Je réagis à coup assuré et pour peu que le visage évoque la paix et que les tétins me paraissent
petits et fermes comme deux globes qui se touchent, alors, rien ne m'arrête.
Ce fût une de ces journées de voyage éreintantes, et notre diligence s'était arrêtée à Chalon pour la nuit. Les chevaux devaient être changés et nous avions tous profité de
l'abondant repas de l'auberge du coin. je voyageais en compagnie de quelques sombres représentants et les conversations avaient été rares. Aussi, je ne reculais pas devant quelques verres de vin du
pays, fort bon.
j'allais me coucher quand une femme bien habillée, fit irruption dans la salle. Sans doute était-elle déjà installée dans sa chambre, et la perspective d'un repas en notre
compagnie l'avait-elle fait fuir.
Je sentis tout d'abord comme un effondrement dans le bas de mon ventre. Un peu comme dans ces attractions foraines, au moment où le wagonnet plonge, mais encore plus bas, entre
mon ventre et ma queue, je ne saurais dire.
Ma limace molle se réveillait, se rappelait à mon souvenir, et se frayait un chemin. Parfois le prépuce coinçait quelques poils.
J'adorais ce moment où mon membre grossit et les poils, cédant, lacèrent la hampe de ma queue, juste en dessous du gland. Cela me fît un peu mal, comme une coupure. Tout les bas
de mon corps me picotait sur le devant. Le scrotum semblait descendre encore plus bas.
Elle dût voir mon émoi, je ne sais. Mais elle n'eût pas un regard vers moi. Je me levais et rejoignais bien vite ma chambre, n'ayant plus rien à faire. Après quelques vaqueries
destinées à me distraire de mon excitation, je me retrouvais dans le même embarras. Je dois dire que je ne suis guère prude aussi commençais-je rapidement à y mettre la main.
je m'allongeais sur ma couche et je glissais la paume de ma main bien à plat sous mon pantalon. Celle-ci séparait bien vite les quelques poils restés coincés. La douleur
était bonne. Je fermais alors les yeux et pensais à cette femme en même temps que je saisissais ma queue, cette fois ci bien rigide. Je la déshabillais en pensée. Ses seins tout d'abord, bien
blancs, avec des aréoles larges et granuleuses se hérissèrent quand je fis glisser un petit caraco blanc. Je soulevais sans délai ses jupons jusqu'à ses hanches. Sa toison était fournie, et j'y
glissais violemment un doigt, sans délicatesse. Elle eut un petit cri. Son sexe céda mais bien vite je réussissais à le faire mouiller. Mon doigt changeait de texture, comme lorsque l’on reste trop
longtemps dans l'eau. J'adorais cette sensation, aussi j'insistais en jouant à faire clapoter cette mouille par l'ouverture de son méat...
Le plancher du couloir craquant me ramena brutalement à la réalité et je me trouvais, sur mon lit , le pantalon bas et les joues en feu...