Mardi 29 mars 2 29 /03 /Mars 21:03

J’entre dans la pièce, à quatre pattes, nu, avec uniquement un collier de chien en tissu autour du cou. Je ne dis rien. Ma maîtresse, opulente, est assise sur le sofa. Elle porte un haut bleu sombre lamé, une jupe noire sur des bas noirs et des bottines. Elle me dit « reste là, ne bouge pas » en tendant le doigt, comme à un petit chien. « ne bouge pas, là ! ». Je m’arrête. puis ses mains passent sous sa jupe en même temps qu’elle se relève. Je suis à ses pieds, je n’en perd pas une miette. Sa jupe noire remonte, je vois le haut de ses cuisses. Ses mains passent de derrière sur le devant puis descendent le long de ses jambes. Un petit morceau de tissu. C’est sa culotte qu’elle enlève.
Elle  me la tend puis me dit « sens ». Je m’approche, et plonge mon nez dans sa culotte odorante. Je sens son odeur de femme, douce, âcre, entêtante. Je sens la moiteur et la tiédeur de sa culotte. Cela m’excite, ma queue gonfle un peu. « non, non, ne mords pas. Sens, c’est tout », dit elle en tendant son doigt, puis elle me représente sa culotte. Je tire la langue de plaisir.cote.jpg
Puis elle me passe la main dans les cheveux et se rassoit dans le sofa, en écartant bien ses cuisses, elle remonte sa jupe. Je  vois son porte jarretelles noir. J’ai alors une vue plongeante sur sa vulve. Elle est rasée, bien lisse et charnue. Je bande et je sens ma queue qui commence à pendre entre mes jambes. Elle prend un pot sur la table à coté d’elle. Du miel. Elle y plonge son doigt et puis le passe sur sa fente et sur tout le pourtour de sa chatte. Elle me regarde… « Viens lécher ». Je m’approche entre ses cuisses. Je commence à laper, par petits coups, pour récupérer le miel qui fait des gros morceaux. Elle s’étend un peu plus et j’entends son souffle. Elle me regarde avec un sourire de bonheur. Je suis content. J’entends ses « ah » et ses « hmm » de plaisir mêlés à mes bruits de succion. Quand j’ai fini avec le miel je nettoie bien sa peau qui colle. Elle passe sa main sur son ventre. Le sucre fait que cela est râpeux. Quand je passe sur sa fente, je lui arrache des rauques de plaisir. Ma langue se hasarde au milieu de son sillon. Je découvre qu’elle est mouillée de plaisir. Son jus se mêle au goût du miel. J’adore. Je sens son odeur de femme qui exhale de plus en plus. Ma bite me tire, j’aimerais tant qu’elle me câline à son tour.
Elle pose sa main sur ma tête et la presse contre son sexe, au rythme de mes lapements. Sa respiration devient plus forte, elle pousse son bassin vers ma bouche, ouvre encore plus ses cuisses, comme pour m’inviter à ouvrir son sexe. Je détache les deux lèvres qui sont maintenant bien gonflées, remonte vers son clitoris que je contourne délicatement. Je le sens qui commence à pointer. Je presse mon visage contre son sexe et ma langue entre, bien dure dans son vagin qui est maintenant trempé. Mes joues sont mouillées de ses jus de femme. J’entre et sors, et je pousse des petits cris de chien content.
Je sens parfois ses cuisses se refermer sur moi, comme en réflexe. Puis elle écarte à nouveau. Je ressors de temps en temps pour remonter jusqu’à son clito. Il est maintenant bien dur et sorti de son écrin de lèvres. Elle pousse des « ah » de plaisir. Puis je redescends sur le coté de ses lèvres. Ma face est couverte de sa mouille. Je mords parfois dans la chair de son mont de venus et j’aspire ce jus. Je la sens vaciller, retenir son souffle puis expulser son plaisir. Je lèche pour essayer de sécher toute sa mouille, mais rien n’y fait. Je sens alors les mouvements de son bassin. Elle presse ma tête et crie désormais. Elle jouit.
Un moment passe pendant lequel je continue de la lécher en évitant de plus en plus son sexe ; ses cuisses, son aine…
Elle me parle à nouveau «  c’est bien, oui c’est bien. Je vais te faire un joli cadeau, mon toutou ». puis elle me tend sa culotte que je prends dans ma bouche. « couché maintenant ». je m’étends devant elle sur un petit tapis. Ma queue est bien dure. J’aimerais tant que ma maîtresse me câline…

Par olimark
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Mercredi 13 juin 3 13 /06 /Juin 18:41
coudre.jpg j'étais seule chez moi et d'un coup, l’Interphone résonne... je me lève d'un bond... je décroche et j'entend : " Jo c'est moi ouvre... vite ! "... sans me poser de question, je m'exécute et quelques secondes plus tard, xavier est là sur le pas de ma porte... haletant et rouge de sueur... il entre et s'affale sur le canapé... il a du mal à respirer, il ouvre sa chemise...je lui tends un verre d'eau qu'il boit d'un trait et laisse même tomber quelques gouttes sur son torse perlé de sueur...il pousse un ouf de soulagement et m'explique qu'il s'est fait courser par un chien alors qu'il se rendait chez moi. je baisse les yeux et j'aperçois un trou à l'intérieur de la jambe de son jean... je décide d'y remédier, je prends une aiguille et du fil et je m'exécute... sans un mot, je me mets à genoux devant lui et je commence à dégrafer, un à un, les boutons de sa braguette...je lève doucement les yeux vers lui... il a les bras derrière la tête comme pour me dire " fais de moi ce que tu veux"... il ouvre les yeux et me regarde, expectatif... je baisse mon regard et je continue doucement... je baisse son jean, il se soulève légèrement afin que je puisse faire glisser son pantalon le long de ses fesses...mon regard se fixe sur son caleçon ou je devine facilement l'attrait qu'il porte à ce que je fais...je vais même jusqu'à pousser le vice en laissant traîner ma joue et mes cheveux sur son caleçon...et je l'abandonne ainsi, me concentrant uniquement sur les quelques points de que je fais pour réparer son jean... mon bras frôle intentionnellement son sexe pour ne pas qu'il relâche son érection...une fois les points finis, je me penche sur lui pour couper le fil avec mes dents et ma poitrine vient s'écraser sur sa cuisse. un léger soupir se fait entendre et je n'y suis pas insensible...cette situation commence à me faire de l'effet et ma chatte est toute mouillée...je laisse tomber la couture et je passe donc aux choses sérieuses...j'écarte ses jambes et je glisse au milieu d'elles. son jean est maintenant sur ses chevilles, et son caleçon devient trop étroit. je me penche sur son entre jambe et je fais glisser ma langue sur son caleçon et son sexe émerge doucement par l'ouverture...je le prends délicatement dans ma main et je commence à le caresser doucement. il ferme les yeux et se retient. j'approche ma bouche de son sexe tout chaud, il se cambre. ma langue glisse doucement sur son gland, elle en fait le tour sans oublier d'insister sur la rigole... il agrippe le tissu du canapé... son sexe s'enfonce doucement dans ma bouche et me langue descend aussi le long de sa verge qui atteint le fond de ma gorge. je remonte alors, tout aussi lentement afin de sentir son sexe se durcir et grossir sous l'effet de ma bouche... je lève les yeux, sans arrêter de m'occuper de cette délicieuse sucette qui ne fond pas mais se durcit et se tend sous mes caresses. il a les yeux fermés et il se mord les lèvres. ma bouche descend à nouveau sur son sexe et ma langue n'a de cesse de s'activer en même temps. une fois sa verge au fond de ma gorge, je la garde précieusement au chaud et ma langue tourne autour et je fais de petits cercles avec ma tête. il commence à gémir tandis que son gland laisse échapper un peu de sperme... je relève la tête afin de lécher cette sécrétion offerte, je le lèche avec application, du bout de ma langue et je la passe aussitôt sur mes lèvres. je laisse glisser ma langue le long de sa verge et je descends jusqu'à atteindre ses bourses. là, je prends la peau entre mes mains et je le tire doucement pour mieux la mordiller. je joue avec, mes doigts et ma langue s'amusent avec elle... puis je remonte doucement le long de son sexe et je fais tourner ma tête tout autour de son gland, puis je descends d'un coup sec jusqu'à la base de son sexe et je remonte...j'accélère de plus en plus mais d'un coup je ralentis... et mes vas et viens se font de plus en plus doux avant de reprendre de plus en plus de vitesse. je sens son jus monter à l'intérieur de ma bouche le long de son sexe...j'adore cette sensation qui m’excite de plus en plus et ma culotte se trempe sans ménagement...il n'y tient plus et se cambre comme pour m'inviter à en finir au plus vite. je prolonge son agonie mais d'un coup ma bouche se remplit d'un liquide chaud, pâteux, sucré et amer à la fois... je me relève en aspirant le sperme qui n'a de cesse de remplir ma bouche... une fois ma bouche libérée de son sexe, j'avale goulûment l'élixir si généreusement offert. je m'en délecte et ma langue va chercher les dernières gouttes qui perlent de son gland. je me relève doucement et je le laisse savourer ce moment de plaisir...
Par olimark
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Dimanche 27 mai 7 27 /05 /Mai 10:50
shorty-pastel.jpg Je m’arrête un instant et je regarde autour de moi... je ferme les yeux et je respire profondément... le doux parfum de la bougie envahit maintenant la pièce et la chaleur de nos corps en réchauffe l'atmosphère....j'ouvre les yeux doucement et ils se posent sur ton corps délicat qui vibre encore de mes récentes caresses... un léger frisson ... comme une crampe... me parcourt le bas ventre et l'envie de toucher... à nouveau...ton joli corps offert... me traverse l'esprit...
Je souffle doucement sur tes fesses, comme pour les inviter à s'ouvrir encore... des frissons plus intenses courent le long de ton corps... tu as la chair de poule... ne pouvant résister à cette vague déferlante, j'approche ma bouche de ton dos et je laisse glisser ma langue le long de ton shorty... te fesses tressaillent...le désir t'envahit à nouveau... ton corps bouge d'impatience... tu te tortilles comme pour me dire de m'occuper de toi ... de petits gémissements trahissent ton impatience et transpercent le silence de la pièce...
je me décide alors, je te retourne lentement en te regardant intensément... j'ai très envie te sentir ta chatte brûlante de désir... mouillée sous mes caresses...mes yeux dans les tiens, tu m’incites à t'investir... je m'avance doucement vers ta bouche que je regarde intensément; tu te relèves brusquement et tu m'attrapes sauvagement la tête à deux mains et tu me dévores la bouche en me renversant sur le lit...tu es avide de moi...tu te jettes maintenant sur mon cou et tu lapes le lobe de mon oreille avec ta langue et tes dents glissent dessus doucement... je frissonne et maintenant c'est moi qui gémis de plaisir ; j'ai envie de te faire l'amour comme un fou mais je retiens encore...le  désir charnel qui a pris corps en moi... et je m'abandonne à tes caresses qui s'intensifient car tu es maintenant en train de me mordiller les tétons... deux sentiments m'envahissent : le plaisir que tu me donnes et la douleur qui me transperce le sein.... mmmmm... je ferme les yeux et je me mords doucement la lèvre pour ne pas trahir la douleur et mon sexe ne s'y trompe pas lui... il s'engorge doucement... et tu t'en es rendu compte car ta main vient se poser doucement sur mon gland qui tremble sous tes caresses...pendant que tes mains s'occupent de mon sexe, par de précis va et vient qui me font me cambrer de désir, ta bouche, elle, continue de descendre lentement le long de mon corps et de torrides frissons me traversent le corps je ne tiens plus... je résiste difficilement à ses tortures de plaisir...je me relève et je te prends sans te laisser d'échappatoire... mon sexe s'enfonce dans le tien trempé et brûlant de désir... j’exulte dans un cri de satisfaction et toi aussi tu gémis en me mordant l'oreille... ton jus et le mien se mélange et coule le long de ton sexe... je ne veux pas sortir de cet écrin doré et je m'abandonne... la tête sur ton sein que ma langue titille tranquillement...
 la bougie vient de s'éteindre... le noir de la pièce prend possession de nos corps et nous enlace... tout est calme à nouveau... seul le parfum de nos amours plane dans la pièce... seul témoin de nos ébats...

Par olimark
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Vendredi 25 mai 5 25 /05 /Mai 16:30
Ma chère,
tu me pries avec tant d'insistance! Que je te raconte quelle a été ma première expérience? Cela ne m'arriva point en mon très jeune âge, mais au moins ai-je la fierté de ne pas avoir été dépucelé par main plus experte que la mienne ou par un homme. Eh oui, ce sont là ce que maints de mes amis rapportent.
je ne sais comment cela se fit, mais un jour de mes 16 printemps, en l'an 1475, j'étais encore jeune garçon, il advint qu'une jeune fille répondant au doux nom d'Elizabeth vint frapper à notre huis un bel après midi. Comment se fit il que ce jour là, aucuns de mes frères et soeurs ne fût là? Je ne sais.
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j'étais dans ma chambre et maman fit monter la jeune fille. Ce n'était guère dans ses habitudes mais sur le moment, je ne pris la mesure de cette indifférence maternelle. Je ne sais comment, j'étais arrivé à inviter cette jeune fille mais je me dis maintenant qu'elle devait être aussi intéressée par la chose que moi-même, pour que cela ne resta pas dans mon souvenir.
A peine était elle entrée que derrière elle, je tirai le verrou. Je lisais dans ses yeux la même détermination que la mienne. Nous nous allongeâmes aussitôt sur la couche, l'un à coté de l'autre, et toujours sans un mott, nous commencions à nous embrasser. Sur la bouche d'abord, puis, dardant la langue entre nos lèvres, rapidement nous nous mîmes à échanger de longs baisers au goût de miel.
Nos mains étaient restées le long de notre corps. J'entrepris alors de relever son jupon et glissais ma main droite sous son collant. Le bout de mes doigts caressait maintenant sa toison. Quelle ne fût pas ma surprise quand elle en fit rapidement autant. Un de ses ongles peu expert vint griffer mon gland; la réaction ne se fit pas attendre et je constatai par la présence de ses doigts que mes poils étaient déjà baveux de mon excitation. Je descendais alors jusqu'à son sillon que je parcourais mentalement pour me rassasier de l'instant. Mon index séparait doucement deux renflements soudain vide de poils, que la pression des jambes avait collé l'un à l'autre. J'entrai dans la moiteur tiède de sa fente, au bruit de sa respiration forte à mon oreille.
Elle, pendant ce temps, s'était emparé gourmandement de ma tige, à pleine main et elle en jaugeait la taille, par des mouvements de va et vient qui faisaient leur effet. Elle me serrait à m'en faire délicieusement mal. Je glissais plus avant dans son intimité et goûtais pour la première fois à la texture un peu poisseuse des humeurs de femmes. le coussin de mes doigts entraînait avec lui, quand je l'écartais, un filet de bave qui m'attachait ainsi à son sexe. Mon souffle était court. On devinera que j'étais concentré sur mon plaisir. Ainsi en était elle d'elle également. J'entendais sa respiration et ses grognements quand mes doigts pénétraient profondément son conil. Son monde intérieur se refermait sur mon doigt. Elle ouvrait la bouche et je sentais la fraicheur de son haleine sur mon visage. Nous ne tînmes pas longtemps ce jeu là et ses gémissements furent ponctuer de ma liqueur sur ses doigts, qu'elle essuya sur mes jeunes poils et mon ventre.
    Je ne la revis jamais.
Par olimark
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Lundi 21 mai 1 21 /05 /Mai 00:31
on se trouve dans une chambre et bien que l'air soit frais il fait chaud . c'est pas une chaleur normale ... c'est plutôt une ambiance
.... la chambre est noire et juste le halo d'une bougie éclaire le lit ou se trouve une femme .... allongée sur le ventre...presque nue ...
elle est là .... allongée ... elle enlace un oreiller de ses bras mordorés...
sa tête est délicatement posée sur l'oreiller dans le creux de son bras.... ses yeux sont fermés... elle respire doucement ... dans la pièce la silhouette de la bougie oscille au rythme de son souffle qui seul trahit sa présence dans la pièce.... bougie.jpg
je regarde ses seins au contact de ses draps, juste sous les bras; cette vision me parcourt le dos
je suis très ému devant cette scène et en même temps très excité de voir ce corps inerte offert.
je m'avance doucement pour ne pas perturber ce doux moment de recueillement
un frisson te traverse ... en me déplaçant un léger courant d'air à effleuré tes fesses que laisse entrevoir la dentelle de ton shorty
le frisson te fait vibrer mais t’excite ... et tu changes de position
Tu relèves une jambe le long de ton corps
tu l’entrouvres doucement ;
tes cuisses s’entrouvrent laissant apparaître ton sexe qui emprisonne le shorty ...
ton sexe luit ... ton shorty s’imprègne ... tu serres tes fesses par petits à-coups... signe du désir qui monte en toi
sous ton bras je devine ton téton qui commence à durcir ... ton corps vibre et de petits gémissements trahissent ton état d’excitation
je m'approche plus près tout doucement je m'assois sur le lit ... je frôle ton corps et tu frissonnes à nouveau.
je frôle ton corps avec le bout de mes doigts et tu gémis doucement
tu te trémousses doucement.
ton sexe mouille et un filet coule ... ton shorty change de couleur... il se gorge de ton jus
je passe mes doigts dans le creux de tes reins et tu te cambres de plaisir
alors je me baisse doucement sur toi de j'appose un baiser dans le creux de tes reins
ton souffle se fait plus rapide d'un coup et ton corps se trémousse de plus en plus de plaisir
tes yeux se sont ouverts ...
tu me regardes tendrement par dessus ton épaule
tes yeux me disent de continuer doucement ces caresses pleines de tendresse ...
je me tourne un peu plus vers toi ... j'appose mes deux mains sur ton corps tremblant de désir.
mes pouces sont maintenant de chaque coté de ta taille que je masse doucement
je me met au dessus de toi et je m'assois sur tes fesses ;
je remonte doucement mes mains le long de ton corps
ton corps se cambre sous la pression de mes doigts
je remonte toujours et je frôle tes seins
je redescends pour les sentir à nouveau vibrer sous mes doigts
tu tressailles sous mes caresses
mes mains se trouvent à présent sur tes épaules et je les masse doucement ... tu redresses la tête ... tu me cherches des yeux
je me penche sur toi... je me couche délicatement sur ton dos... j'embrasse doucement ton cou et ta nuque
je passe délicatement ma langue le long de tes épaules... tu frémis et je t'embrasse tendrement tout le long de l'épaule ... je m'amuse avec ton creux d'épaule
je sens des frissons dans tout mon dos, jusqu'aux fesses.
alors je me relève et je suis avec ma langue le chemin de tes frissons
et j'insiste le long de ta taille et je remonte doucement j'effleure, mm, tes seins
(à suivre)
Par olimark
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Lundi 21 mai 1 21 /05 /Mai 00:03
Elle etait dans sa cuisine quand j’entrais.
    magret-pralin-3.jpg Je commence à lui parler ; elle se rapproche alors de moi, je lui parle de n’importe quoi ; elle s’approche de moi toujours et je la vois me regarder avec un grand sourire. ses mains semblent se diriger vers moi. Elle m’écoute  et en même temps regarde de temps en temps vers mon pantalon.
    Tout d'un coup ses mains s’emparent de ma ceinture, sans geste brusque. je comprends tout de suite et je dégrafe aussitôt , j'ouvre légèrement mon pantalon. je continue à parler. De ses mains elle dégage ma verge, et commence à faire doucement un mouvement de va et vient. Elle se baisse un peu et prend le bout de ma verge dans sa bouche. Elle me suce comme une tétine en mouillant abondamment de salive. Sa bouche se retire de mon gland en faisant un filet de salive. Elle s’applique, goulûment. Ma queue prend alors une proportion plus qu’honorable. Elle reste accroché un temps en faisant jouer sa langue. C’est divinement bon. Elle se retire puis me branle doucement mais à pleine main.
    Elle défait alors son pull, son soutien gorge et sa culotte en même temps que tombe son pantalon. Elle est nue devant moi et ses seins lourds mais ronds m’excitent la vue . elle reprend ma verge dans sa bouche et je l’accompagne de mouvements de bassin. Sa caresse se fait plus précise, plus pressante, elle presse de sa langue ma queue contre son palais. Sa main accompagne ses lèvres dans son mouvement d’allée et venue.
    Nous inversons les rôles. Elle s’assoit sur le plan de travail et je lui glisse deux de mes doigt dans sa fente. Elle est déjà mouillée. Ils glissent sans effort . mon autre main rejoint ses seins tout ronds que je malaxe. Ils cèdent sous ma main qui pétrit. L’un, puis l’autre. Les deux mouvements sont coordonnés. Elle semblent trouver çà à son goût. Sa chatte est rasée, sauf un petit filet de poils au dessus de son minou. Je suis à portée de vue de son vagin et j’entends déjà le clapotis de mes doigts dans sa fente,toute rose, toute douce. Je vois son regard flou ; sa bouche est entrouverte. Elle me regarde mais ne voit rien ; elle est concentrée sur son plaisir, j’entends ses petits rauques quand des frissons lui parcourent le ventre et résonnent dans son vagin.
Je sors mes doigts, un filet de mouille les accompagne ; je le suce. Mmm, c’est divinement bon ; je sens mes doigts. Ils sentent sa chatte. L’odeur m’excite terriblement. J’approche alors mon visage de sa fente. L’odeur est encore plus forte. Du bout de la langue, je sépare une petite lèvre de son mont de vénus en m’insinuant dans les replis de sa chatte. Je joue de ma langue avec ses lèvres fermes qu’elle a légèrement saillantes ; je les sépare car elles sont collées l’une à l’autre par la mouille. je m’insinue dans son sillon et je remonte jusqu’à son petit bouton que je devine. Je me recule pour voir son petit clito. Il est tout dur. Il résiste sous ma langue et je me mets à le laper, de bas en haut. J’entends son souffle qui devient plus fort. Je rentre alors ma langue dans son vagin, à la manière d’une queue, le plus profondément possible.
Elle serre ses cuisses autour de ma tête. Je me dégage et je quitte tous mes vêtements. Pendant qu’elle essaye de reprendre ma queue, les yeux sont indéfinissables. Elles les a très clairs ; son regard m’excite terriblement, il semble me dire « prends moi ».
Mais je veux faire durer le supplice. Je m’approche de ses seins, dont les bouts sont dressés, tout en remettant mon majeur dans sa chatte. Elle est trempée ; je  fais des va et vient, violemment, ma paume frottant sur son mont de venus. J’appuie à chaque poussée sur son clito. Elle râle à chaque pression. Elle me crie à l’oreille des petits « oui, oui » alors que j’investis la base de son cou, sous l’oreille, du bout des lèvres. L’odeur de sa nuque, mélangée à l’odeur de sa chatte, qui m’est restée sur la bouche, est le plus grand des aphrodisiaques. je sens ma queue qui pend dans le vide, comme une grosse limace, comme détaché de mon corps.
    Je la frôle du bout des lèvres, pendant que son fourreau tout lisse se resserre sur mes doigts ; j’ai rajouté l’annulaire. Elle parle de plus en plus et émet maintenant un petit son continu qui va crescendo. Je lui lèche l’arrière de l’oreille tout en la pompant de ma main. Son bassin vient à la rencontre de mes doigts qui remonte sur la face antérieure de son vagin. Ma paume frotte contre ses lèvres et son clitoris que je fais rouler latéralement. Elle crie maintenant  alors que je lui murmure des mots obscènes à l’oreille. nous avançons, en parfait synchronisme.
    Elle s’immobilise alors dans un cri rauque et haché alors que ses jambes se resserrent sur ma main comme un étau. Elles les croisent. Je sens un jet puissant m’inonder la main. Elles resserre encore les jambes, comme pour le retenir. Je me dirige alors vers son sexe. Il est trempé. Je lui lèche consciencieusement comme un petit chat qui laperait du lait. Elle s’ouvre à nouveau tout doucement.  Elle ne dit plus rien et moi je continue à la lècher méthodiquement, son sexe, ses jambes et le pli entre, en glissant un « mmmm » de contentement.
    Elle est aux anges.
Par olimark
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Dimanche 20 mai 7 20 /05 /Mai 23:50
L’autre jour, je ne sais ce qui m’avait pris, j’allais au travail sans ma culotte. J’étais avec ma jupe serrée jean et des talons. Le matin, je m’étais levé avec ce je ne sais quoi qui fait  que je savais que ma journée ne serait pas que travail. Ce jour là, çà tombait bien, je n’avais pas grand chose à faire et mon chef était en formation. Tout le monde en profitait pour fonctionner au ralenti. Personne ne me remarquait ; je le savais bien. american-standard-toilets.jpg
    Un peu avant midi. Je n’en pouvais plus, je filais donc aux toilettes. Je m’asseyais en faisant glisser ma jupe vers le haut et me soulageais rapidement d’un jet dru et sonore. Une vraie vache. J’aime çà, cette sensation sur mes lèvres à peine écartées. Mon cœur se mit à battre la chamade en même temps que mon cerveau entrait en ébullition. J’avais l’impression que ma poitrine qui faisait déjà son 95B prenait encore du volume. Comme je passais une feuille de papier toilette pour m’essuyer, machinalement je glissais mon index dans ma fente. Mon clito se réveillait aussitôt. Je repris une feuille et cette fois ci je m’attardais ; la feuille semblait entrer comme dans un fourreau tendre. De l’autre main je soulevais mon chemisier et effleurait mes tétons. Ils étaient effectivement dressés. Chez moi, ils prenaient une proportion hors du commun. Cela me faisait autrefois honte quand j’étais avec mes petits copains. Depuis, j’en étais devenu plutôt fière. Mes seins coincés entre mon chemisier et ma main caressante commençaient à durcir.
    Mes doigts du bas s’affairaient maintenant rapidement sur le haut de mes deux lèvres et je cherchais à faire sortir mon petit clito que je sentais émerger rapidement. J’écartais bien les jambes et je fermais les yeux. Je me concentrais sur l’image de mon sexe. D’un mouvement répété de haut en bas, je pressais sur mon bouton pour finir par entrer dans ma fente qui mouillait déjà abondamment, la paume de ma main pressant alors de toute mes forces jusqu’à m’en faire mal. Mes doigts étaient enfoncés au plus profond de ma chatte. ma main gauche redescendit à la rescousse de la premièrepour tirer mon sexe vers le haut. pendant ce temps ma main droite faisait des petits mouvements circulaires rapides sur mon clito. Je ne voulais pas que çà s’éternise et mon seul objectif était de parvenir à mes fins le plus rapidement possible.
    Mais tout à coup j’ouvrais les yeux et je me souvins d’un détail qui m’arrêtait net, j’avais oublié de fermer à clé. Mon vagin se contracta et je déchargeais aussitôt, un flot de cyprine me coulant sur les doigts, quand je vis la poignée qui tournait…
Par olimark
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Dimanche 20 mai 7 20 /05 /Mai 23:46
II
Voilà un jour que j’attendais la diligence, coincée dans cette auberge. Je me rendais à Louhans pour un poste de préceptrice quand mon tuteur m’abandonnait. Je fuyais les repas et les tristes démarcheurs et me contentais d’aller chercher une collation sur le soir. Je le vis tout de suite. Les ondes ? Je ne sais pas, mais ce que je sais, c’est que je lui fis de l’effet. Ses joues s’étaient empourprées, et son regard avait fui. Plus tard, je ne le vis plus, aussi je rejoignais ma chambre, dépitée. Il avait allumé en moi, instantanément, mon désir vicieux. Sous un physique très fille-très-bien, j’avais très vite appris à développer ce que j’appelle mon « jeu de salope », à l’insu de tous, parfois même devant tous, d’autant plus secrètement que mon physique me protègeait. munch7.jpg
    J’étais fatigué de mon inactivité quand, curieuse comme une chatte, l’idée saugrenue me traversait que mon bel homme était peut-être mon voisin de chambre. Je décidais de risquer un œil par la serrure de la porte commune. J’éteignais puis je tournais sans bruit la clé pour dégager l’orifice. Je jetais un œil. Dieu du ciel, mon homme, sur son lit, en train de se reposer, les yeux fermés ! Mon attention fut aussitôt attirer par ses mains. Je n’en croyais pas mes yeux, je ne pensais pas être la seule à me caresser, mais c’était la première fois que l’occasion m’était donnée de vérifier de visu. Mes seins pointèrent aussitôt. Je les sentais frotter contre le tissu. J’étais accroupie. J’écartais les jambes et glissait ma main sur ma moule. Cela faisait déjà longtemps que ma vergogne m'avait quitté, et je ne manquais aucune occasion. Celle-ci ne se reproduirait sans doute jamais.
    Mes mains lissaient ma peau, de derrière mes genoux jusqu’à mon ventre, en passant sur ma toison garnie, et un doigt finissait sur mon anus. Je commençais rapidement à mouiller. Mon intérieur bouillait. Mes sucs commençait à travailler.
Mon homme avait maintenant le pantalon sur les cuisses et je surprenais parfois son membre. Je ne sais ce qui me prit, je décidais soudainement que nous étions dans le même état et que nous saurions bien nous en affranchir mutuellement. Toujours accroupie, j’ôtais ma culotte, ressentant les odeurs de mon entrejambe, chaudes et salées. Je me relevais….

III
La porte s’ouvrait, ma demoiselle entr’aperçue puis rêvée prenait corps devant moi, alors que je gisait à demi nu sur mon lit. La honte m’embrasait. Elle ne perdit pas son temps et après avoir clos ma porte, elle relevait ses jupons en me fixant du regard avec un sourire étrange, moitié douceur, moitié cannibalisme.
Je vis son sexe et toutes mes appréhensions disparurent. Sans qu’elle eût besoin d’en écarter les lèvres, je distinguais nettement sa rose entrouverte surmontée de son bouton déjà gonflé. Les pétales étaient détachés de ses grandes lèvres que surmontait un mont de vénus très proéminent, dominé lui même par son ventre rebondi. Cette salope s’était déjà allumé et j’en voyais la confirmation sur son sourire persistant. Elle mit un genou sur ma couche et écartait aussitôt son minou, l’offrant à ma bouche. Je ne me fis pas prier. Mes mains se joignirent à ma langue pour commencer à l’explorer. Insensiblement, elle s’allongeait sur le coté, pour se concentrer sur ma queue qui était retombée. Pas pour longtemps. Elle semblait prendre un plaisir particulier à jouer les chiennes. Je commençais à lui parler.
- tu es plutôt coquine .
- Très ; son rire fusa.
- ...
Par olimark
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Dimanche 20 mai 7 20 /05 /Mai 23:36
Pour un homme, en matière de sexe, il y a les biches, les juments et les éléphantes. ma nature me poussait logiquement vers les juments poneys, pourrait-on dire. Je ne sais quel gène détermine chez moi ce penchant auquel je ne résiste pas. auberge-poney.jpg
    Ces biches, tant flattées par les cancans, ne déclenchent tout bonnement rien en moi. Certes, je goûte à la beauté plastique mais voilà tout. Qu'une croupe arrondie aux hanches fermes, associées à une taille  étroite et des épaules fines se présente et me voilà en transe. Je réagis à coup assuré et pour peu que le visage évoque la paix et que les tétins me paraissent petits et fermes comme deux globes qui se touchent, alors, rien ne m'arrête.
    Ce fût une de ces journées de voyage éreintantes, et notre diligence s'était arrêtée à Chalon pour la nuit. Les chevaux devaient être changés et nous avions tous profité de l'abondant repas de l'auberge du coin. je voyageais en compagnie de quelques sombres représentants et les conversations avaient été rares. Aussi, je ne reculais pas devant quelques verres de vin du pays, fort bon.
    j'allais me coucher quand une femme bien habillée, fit irruption dans la salle. Sans doute était-elle déjà installée dans sa chambre, et la perspective d'un repas en notre compagnie l'avait-elle fait fuir.
    Je sentis tout d'abord comme un effondrement dans le bas de mon ventre. Un peu comme dans ces attractions foraines, au moment où le wagonnet plonge, mais encore plus bas, entre mon ventre et ma queue, je ne saurais dire.
    Ma limace molle se réveillait, se rappelait à mon souvenir, et se frayait un chemin. Parfois le prépuce coinçait quelques poils.
    J'adorais ce moment où mon membre grossit et les poils, cédant, lacèrent la hampe de ma queue, juste en dessous du gland. Cela me fît un peu mal, comme une coupure. Tout les bas de mon corps me picotait sur le devant. Le scrotum semblait descendre encore plus bas.
    Elle dût voir mon émoi, je ne sais. Mais elle n'eût pas un regard vers moi. Je me levais et rejoignais bien vite ma chambre, n'ayant plus rien à faire. Après quelques vaqueries destinées à me distraire de mon excitation, je me retrouvais dans le même embarras. Je dois dire que je ne suis guère prude aussi commençais-je rapidement à y mettre la main.
     je m'allongeais sur ma couche et je glissais la paume de ma main bien à plat sous mon pantalon. Celle-ci séparait bien vite les quelques poils restés coincés. La douleur était bonne. Je fermais alors les yeux et pensais à cette femme en même temps que je saisissais ma queue, cette fois ci bien rigide. Je la déshabillais en pensée. Ses seins tout d'abord, bien blancs, avec des aréoles larges et granuleuses se hérissèrent quand je fis glisser un petit caraco blanc. Je soulevais sans délai ses jupons jusqu'à ses hanches. Sa toison était fournie, et j'y glissais violemment un doigt, sans délicatesse. Elle eut un petit cri. Son sexe céda mais bien vite je réussissais à le faire mouiller. Mon doigt changeait de texture, comme lorsque l’on reste trop longtemps dans l'eau. J'adorais cette sensation, aussi j'insistais  en jouant à faire clapoter cette mouille par l'ouverture de son méat...
    Le plancher du couloir craquant me ramena brutalement à la réalité et je me trouvais, sur mon lit , le pantalon bas et les joues en feu...
Par olimark
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Dimanche 20 mai 7 20 /05 /Mai 10:39
brune-robe.jpg Quand il a mis son sexe dans ma chatte, je dégoulinais déjà. j'avais honte. Je me disais que çà le dégoûterait et puis tu as l'impression que çà le serre moins. Mais là au contraire, çà l'a raidi aussitôt et j'ai eu l'impression que sa queue gonflait en moi au premier contact. Mon vagin s'est contracté d'un coup alors il s'est suspendu un instant. Çà a été comme un flash. Putain, j'ai adoré çà et je me suis entendu gémir comme je l'avais jamais fait.
    On se regardait dans les yeux et c'était le bonheur absolu, le karma cosmique. On était tous les deux au même endroit. Je l'aimais de tout mon cœur, j'avais confiance en lui et je lui donnais tout mon être. Lui, je le voyais se tendre comme si il avait atteint l'everest.
    Il pressait de tout son pelvis sur mon clito et çà se voyait qu'il savait où çà se trouvait. Il faisait comme si il me masturbait avec, c'était trop bon. J'en pleurais presque en me disant que jamais un instant comme celui-ci ne se reproduirait jamais, même avec lui. En fait, j'ai su plus tard que je me trompais et je l'ai épousé.
    La sueur sur son ventre collait à la mienne. Je n'avais plus envie de me déscotcher. C'était lui, c'était le bon.Je sentais les à-coups de son membre qui venait taper sur le devant de mon vagin. Je feulais de plaisir; lui sa respiration était erratique et je sentais parfois son haleine fraîche sur ma figure. L'intérieur de ma bouche était glacée.
    Et puis il s'est mis à me pomper, mais d'une manière spéciale. Quand il se retirait lentement, ses fesses descendaient et je sentais sa queue sur toute la longueur de mon vagin. Il sortait son gland, s'arrêtait un instant en pressant sur ma fente. Çà me rendait folle à chaque fois. Et puis d'un coup sec, mes lèvres trempées s'écartaient en même temps, mon vagin s'écrasait sur sa queue et son pelvis venait sécraser sur mon clitoris que je n'avais jamais senti aussi gros. J'avais délicieusement mal. Des décharges remontaient mon dos jusqu'à exploser dans ma tête. A ce rythme, j'avais tôt fait de crier.
    Je lui enserrais les fesses avec mes jambes et je pris le rythme en main, si j'ose dire. C'est clair, ce type là savait baiser. Il n'était pas comme tant d'hommes qui doivent se dire, plus mon os est dur, plus je lime et plus elle est heureuse. Lui, j'avais l'impression qu'on était connectés. Synchro parfaite. Il éjacula en moi mais je n'avais pas fini, alors je lui pompais jusqu'à sa dernière goutte. Il me laissa faire; ce ne fût pas long et il en fût bien récompensé. Je frémissais tellement que mon corps entier se raidissait dans des spasmes qui venaient de mes reins et me poussaient à me cambrer plusieurs fois. Je le sentis se raidir à nouveau puis il s'écroula sur moi.
    Je l'enlaçais alors de mes quatre lianes pour le garder en moi. Il s'endormit; pas moi. Instant éternel.
Par olimark
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