J’entre dans la pièce, à quatre pattes, nu, avec uniquement un collier de chien en tissu autour du cou. Je ne dis rien. Ma maîtresse, opulente, est assise sur le sofa. Elle porte un haut bleu
sombre lamé, une jupe noire sur des bas noirs et des bottines. Elle me dit « reste là, ne bouge pas » en tendant le doigt, comme à un petit chien. « ne bouge pas, là ! ». Je m’arrête. puis ses
mains passent sous sa jupe en même temps qu’elle se relève. Je suis à ses pieds, je n’en perd pas une miette. Sa jupe noire remonte, je vois le haut de ses cuisses. Ses mains passent de derrière
sur le devant puis descendent le long de ses jambes. Un petit morceau de tissu. C’est sa culotte qu’elle enlève.
Elle me la tend puis me dit « sens ». Je m’approche, et plonge mon nez dans sa culotte odorante. Je sens son odeur de femme, douce, âcre, entêtante. Je sens la moiteur et la tiédeur de sa
culotte. Cela m’excite, ma queue gonfle un peu. « non, non, ne mords pas. Sens, c’est tout », dit elle en tendant son doigt, puis elle me représente sa culotte. Je tire la langue de
plaisir.
Puis elle me passe la main dans les cheveux et se rassoit dans le sofa, en écartant bien ses cuisses, elle remonte sa jupe. Je vois son porte jarretelles noir. J’ai alors une vue plongeante
sur sa vulve. Elle est rasée, bien lisse et charnue. Je bande et je sens ma queue qui commence à pendre entre mes jambes. Elle prend un pot sur la table à coté d’elle. Du miel. Elle y plonge son
doigt et puis le passe sur sa fente et sur tout le pourtour de sa chatte. Elle me regarde… « Viens lécher ». Je m’approche entre ses cuisses. Je commence à laper, par petits coups, pour récupérer
le miel qui fait des gros morceaux. Elle s’étend un peu plus et j’entends son souffle. Elle me regarde avec un sourire de bonheur. Je suis content. J’entends ses « ah » et ses « hmm » de plaisir
mêlés à mes bruits de succion. Quand j’ai fini avec le miel je nettoie bien sa peau qui colle. Elle passe sa main sur son ventre. Le sucre fait que cela est râpeux. Quand je passe sur sa fente,
je lui arrache des rauques de plaisir. Ma langue se hasarde au milieu de son sillon. Je découvre qu’elle est mouillée de plaisir. Son jus se mêle au goût du miel. J’adore. Je sens son odeur de
femme qui exhale de plus en plus. Ma bite me tire, j’aimerais tant qu’elle me câline à son tour.
Elle pose sa main sur ma tête et la presse contre son sexe, au rythme de mes lapements. Sa respiration devient plus forte, elle pousse son bassin vers ma bouche, ouvre encore plus ses cuisses,
comme pour m’inviter à ouvrir son sexe. Je détache les deux lèvres qui sont maintenant bien gonflées, remonte vers son clitoris que je contourne délicatement. Je le sens qui commence à pointer.
Je presse mon visage contre son sexe et ma langue entre, bien dure dans son vagin qui est maintenant trempé. Mes joues sont mouillées de ses jus de femme. J’entre et sors, et je pousse des petits
cris de chien content.
Je sens parfois ses cuisses se refermer sur moi, comme en réflexe. Puis elle écarte à nouveau. Je ressors de temps en temps pour remonter jusqu’à son clito. Il est maintenant bien dur et sorti de
son écrin de lèvres. Elle pousse des « ah » de plaisir. Puis je redescends sur le coté de ses lèvres. Ma face est couverte de sa mouille. Je mords parfois dans la chair de son mont de venus et
j’aspire ce jus. Je la sens vaciller, retenir son souffle puis expulser son plaisir. Je lèche pour essayer de sécher toute sa mouille, mais rien n’y fait. Je sens alors les mouvements de son
bassin. Elle presse ma tête et crie désormais. Elle jouit.
Un moment passe pendant lequel je continue de la lécher en évitant de plus en plus son sexe ; ses cuisses, son aine…
Elle me parle à nouveau « c’est bien, oui c’est bien. Je vais te faire un joli cadeau, mon toutou ». puis elle me tend sa culotte que je prends dans ma bouche. « couché maintenant ». je
m’étends devant elle sur un petit tapis. Ma queue est bien dure. J’aimerais tant que ma maîtresse me câline…
j'étais seule chez moi et d'un coup,
l’Interphone résonne... je me lève d'un bond... je décroche et j'entend : " Jo c'est moi ouvre... vite ! "... sans me poser de question, je m'exécute et quelques secondes plus tard, xavier est là
sur le pas de ma porte... haletant et rouge de sueur... il entre et s'affale sur le canapé... il a du mal à respirer, il ouvre sa chemise...je lui tends un verre d'eau qu'il boit d'un trait et
laisse même tomber quelques gouttes sur son torse perlé de sueur...il pousse un ouf de soulagement et m'explique qu'il s'est fait courser par un chien alors qu'il se rendait chez moi. je baisse les
yeux et j'aperçois un trou à l'intérieur de la jambe de son jean... je décide d'y remédier, je prends une aiguille et du fil et je m'exécute... sans un mot, je me mets à genoux devant lui et je
commence à dégrafer, un à un, les boutons de sa braguette...je lève doucement les yeux vers lui... il a les bras derrière la tête comme pour me dire " fais de moi ce que tu veux"... il ouvre les
yeux et me regarde, expectatif... je baisse mon regard et je continue doucement... je baisse son jean, il se soulève légèrement afin que je puisse faire glisser son pantalon le long de ses
fesses...mon regard se fixe sur son caleçon ou je devine facilement l'attrait qu'il porte à ce que je fais...je vais même jusqu'à pousser le vice en laissant traîner ma joue et mes cheveux sur son
caleçon...et je l'abandonne ainsi, me concentrant uniquement sur les quelques points de que je fais pour réparer son jean... mon bras frôle intentionnellement son sexe pour ne pas qu'il relâche son
érection...une fois les points finis, je me penche sur lui pour couper le fil avec mes dents et ma poitrine vient s'écraser sur sa cuisse. un léger soupir se fait entendre et je n'y suis pas
insensible...cette situation commence à me faire de l'effet et ma chatte est toute mouillée...je laisse tomber la couture et je passe donc aux choses sérieuses...j'écarte ses jambes et je glisse au
milieu d'elles. son jean est maintenant sur ses chevilles, et son caleçon devient trop étroit. je me penche sur son entre jambe et je fais glisser ma langue sur son caleçon et son sexe émerge
doucement par l'ouverture...je le prends délicatement dans ma main et je commence à le caresser doucement. il ferme les yeux et se retient. j'approche ma bouche de son sexe tout chaud, il se
cambre. ma langue glisse doucement sur son gland, elle en fait le tour sans oublier d'insister sur la rigole... il agrippe le tissu du canapé... son sexe s'enfonce doucement dans ma bouche et me
langue descend aussi le long de sa verge qui atteint le fond de ma gorge. je remonte alors, tout aussi lentement afin de sentir son sexe se durcir et grossir sous l'effet de ma bouche... je lève
les yeux, sans arrêter de m'occuper de cette délicieuse sucette qui ne fond pas mais se durcit et se tend sous mes caresses. il a les yeux fermés et il se mord les lèvres. ma bouche descend à
nouveau sur son sexe et ma langue n'a de cesse de s'activer en même temps. une fois sa verge au fond de ma gorge, je la garde précieusement au chaud et ma langue tourne autour et je fais de petits
cercles avec ma tête. il commence à gémir tandis que son gland laisse échapper un peu de sperme... je relève la tête afin de lécher cette sécrétion offerte, je le lèche avec application, du bout de
ma langue et je la passe aussitôt sur mes lèvres. je laisse glisser ma langue le long de sa verge et je descends jusqu'à atteindre ses bourses. là, je prends la peau entre mes mains et je le tire
doucement pour mieux la mordiller. je joue avec, mes doigts et ma langue s'amusent avec elle... puis je remonte doucement le long de son sexe et je fais tourner ma tête tout autour de son gland,
puis je descends d'un coup sec jusqu'à la base de son sexe et je remonte...j'accélère de plus en plus mais d'un coup je ralentis... et mes vas et viens se font de plus en plus doux avant de
reprendre de plus en plus de vitesse. je sens son jus monter à l'intérieur de ma bouche le long de son sexe...j'adore cette sensation qui m’excite de plus en plus et ma culotte se trempe sans
ménagement...il n'y tient plus et se cambre comme pour m'inviter à en finir au plus vite. je prolonge son agonie mais d'un coup ma bouche se remplit d'un liquide chaud, pâteux, sucré et amer à la
fois... je me relève en aspirant le sperme qui n'a de cesse de remplir ma bouche... une fois ma bouche libérée de son sexe, j'avale goulûment l'élixir si généreusement offert. je m'en délecte et ma
langue va chercher les dernières gouttes qui perlent de son gland. je me relève doucement et je le laisse savourer ce moment de plaisir...
Je m’arrête un instant
et je regarde autour de moi... je ferme les yeux et je respire profondément... le doux parfum de la bougie envahit maintenant la pièce et la chaleur de nos corps en réchauffe
l'atmosphère....j'ouvre les yeux doucement et ils se posent sur ton corps délicat qui vibre encore de mes récentes caresses... un léger frisson ... comme une crampe... me parcourt le bas ventre et
l'envie de toucher... à nouveau...ton joli corps offert... me traverse l'esprit...
Je commence à lui parler ; elle se rapproche alors de moi, je lui parle de n’importe quoi ; elle s’approche de moi toujours et je la vois me regarder avec un grand sourire. ses mains semblent se
diriger vers moi. Elle m’écoute et en même temps regarde de temps en temps vers mon pantalon.
Quand il a mis son sexe dans
ma chatte, je dégoulinais déjà. j'avais honte. Je me disais que çà le dégoûterait et puis tu as l'impression que çà le serre moins. Mais là au contraire, çà l'a raidi aussitôt et j'ai eu
l'impression que sa queue gonflait en moi au premier contact. Mon vagin s'est contracté d'un coup alors il s'est suspendu un instant. Çà a été comme un flash. Putain, j'ai adoré çà et je me suis
entendu gémir comme je l'avais jamais fait.